J’ai visité l’Ile Maurice, ces hotels fastueux et l’envers du décor, une population vivant sous le seuil de pauvreté que nous n’osons même pas imaginer.
Pourtant ils sourient, ils ont l’air heureux, ils se débrouillent comme ils peuvent.

Quant à la tendre lectrice que je suis et qui vient de ranger (à l’ombre s’il vous plait) sa voiture après un trajet de 4 km, elle n’a aucun remord de n’avoir pas du, de ses pauvres petits bras frêles, porter la quantité incroyable de courses que de gentils voraces ne tarderont pas ingurgiter avant la fin de la semaine.
Non mais … :þ