Fabrice Grosfilley est pessimiste, l’heure d’hiver sera là avant la prestation de serment du prochain gouvernement fédéral, l’Angleterre a connu une petite mort face à l’Afrique du Sud, le guitariste du De Valera a bien du mérite après pareil début de soirée… Toutes les raisons sont réunies pour qu’aujourd’hui soit le jour d’une chanson de deuil, d’une chanson aux paroles tristes (si,si) : Marcia Baila et la mort qui l’a assassiné.
Spéciale dédicace aux millions de fêtards qui ont connu l’apex de la party sur cette chanson, qui ont crié à tue-tête « Mais c’est la mort qui t’a assassiné » au-dessus de la sono, dans l’oreille de leur voisine, un gobelet de bière à la main, des confettis jusque dans le slip.