Clavier dvorak-fr : un an après

Ah… l’approche de la nouvelle année. Le moment où l’on pense à toutes ces bonnes résolutions pour bien commencer l’année. Il y a un an, cachet du post faisant foi, j’ai arrêté de regarder mon clavier en tapant. Depuis longtemps, je voulais taper à l’aveugle, apprendre à mes doigts à trouver les touches. Je voulais que mes yeux regardent les lettres du texte s’inscrire une par une sur l’écran, plutôt que faire des aller-retours incessants entre le clavier et l’écran.

Un an après : mission accomplie. Je parviens même presque à taper à peu près juste sans regarder l’écran.

Le négatif : le driver dvorak n’est pas universel. Pour des logiciels, les raccourcis-clavier sont ceux du clavier physique.

Le positif : tout le reste. La production de texte est plus fluide, le clavier est presque aussi souple que le stylo pour verbaliser la pensée.

Tu aimes les défis, tu as des automatismes azerty qui t’empêchent de tout reprendre à zéro, tu as envie de pouvoir écrire en tapant à l’aveugle ? Une seule adresse !

Dvorak, me voila !

post-it yourself dvorak

Ceci est le clavier avec lequel je rédige ce post. Ca n’est pas de la tarte de repartir à zéro à la redécouverte de mon clavier. Mais ce passage à la disposition Dvorak est la chance d’apprendre à taper sans regarder le clavier.

Je trouve illogique que mon activité soit l’écriture et que je ne maitrise pas l’instrument à 100%. A premiere vue, la disposition des touches est effectivement plus logique. Mon nouvel ami Klavaro et moi-même allons passer beaucoup de temps ensemble dans les jours qui viennent. Il y a toute la mémoire musculaire de l’azerty à oublier.