Monsieur Eddy

heu... eddy merckx

Monsieur Merckx, je garde une souvenir marquant de votre (de ta ?) carrière cycliste. Un jour que, tout bambin, je jouais à Eddy Merckx (escalader et désescalader à toute vitesse les escaliers en me prenant pour le maillot jaune 1969), mon menton a rencontré brutalement une balustre. Depuis, j’ai une cicatrice au visage.

Ca n’empêche pas que ton palmarès (allez, on se tutoie !) reste de loin supérieur à celui du Texan à roulettes. Ca ne m’empêche pas de faire heu… du vélo.

Comment je vais gagner mon premier milliard

J’étais vêtu de blanc à une fête et pas le moindre Eddy Barclay en vue. J’étais à cette fête et j’avais soif. J’avais soif et pas envie de me casser la voix. Pas envie de jouer les Bruel et pourtant envie de passer ma commande à l’open barman.

Et là… le saut créatif. L’idée qui tue. Le truc qui va me rapporter des milliards d’euros, une île privée dans les Seychelles, un chalet à Gstaad (ou Crans-Montana) et la couverture de Bizz Magazine ou du Financial Times et de quoi manger à ma faim jusqu’à la fin de mes jours.

tonic

(ou alors l’idée d’un tableau blanc effaçable de poche pour pouvoir passer sa commande et draguer les jeunes filles de la section wallpapers dans les endroit sur-décibelisés est une fausse bonne idée?)