Monsieur Merckx, je garde une souvenir marquant de votre (de ta ?) carrière cycliste. Un jour que, tout bambin, je jouais à Eddy Merckx (escalader et désescalader à toute vitesse les escaliers en me prenant pour le maillot jaune 1969), mon menton a rencontré brutalement une balustre. Depuis, j’ai une cicatrice au visage.
Ca n’empêche pas que ton palmarès (allez, on se tutoie !) reste de loin supérieur à celui du Texan à roulettes. Ca ne m’empêche pas de faire heu… du vélo.