7 raisons d'aimer Septième Ciel Belgique

7eme ciel

Pour la première fois depuis 1988, la RTBF produit une série de fiction. L’accueil semble plutôt frais. Pourtant, en cherchant bien, on peut trouver 7 raisons d’aimer Septième Ciel Belgique

  1. De tous les feuilletons situés à Tournai dans un magazine d’astrologie et featuring une actrice à pseudonyme de cathédrale, Septième Ciel Belgique est le meilleur de tous les temps !

  2. Septième Ciel Belgique donne bonne conscience au spectateur qui zappe accidentellement sur AB3 ou AB4 après 22h30 : il compare le jeu des acteurs pour voir si c’est tellement pire que ça.
  3. Septième Ciel Belgique n’a pas été testé sur des animaux (ni sur des téléspectateurs).
  4. La chanson du générique est la meilleure excuse pour ressortir les vieilles blagues sur la différence entre Maurane et un éléphant de mer.
  5. Contrairement à Starsky et Hutch ou Chapeau melon et bottes de cuir, on devrait éviter une adaptation de Septième Ciel Belgique au grand écran.
  6. La science s’est longtemps demandée combien de temps il faudrait à une infinité de chimpanzés dotés d’une infinité de machines à écrire pur produire l’intégrale de Shakespeare. Septième Ciel Belgique est visiblement une retombée de ce programme de recherche fondamentale.
  7. Si par hasard Septième Ciel Belgique devenait un succès d’audience, RTL-TVi se sentirait moralement obligé de produire une deuxième saison de la Star Ac’ belge. Citoyens : tous devant la RTBF ce mardi soir !

Comment s'abonner à Courrier International ?

Début janvier, gonflé de bonnes impulsions et de bonnes résolutions, je décide notamment de me tourner un peu plus vers le monde extérieur, de m’intéresser à ce qui se passe un peu partout sur cette planète. Bref : je décide de rejoindre les rangs des abonnés à Courrier International.

Je ne savais pas que c’était un club aussi select.

Première tentative : acheter un numéro chez ma fidèle libraire, remplir une carte postale nantie des informations demandées et attendre… une réponse qui ne vient pas.

courrier international

J’ai en ma possession un deuxième exemplaire de la carte postale sur lequel figure un numéro de téléphone. Après plusieurs tentatives, quelqu’un décroche et se propose de m’envoyer un courrier postal auquel je n’aurai qu’à répondre pour devenir un abonné de Courrier International.

C’était quoi… le 10 janvier ? Le 12 peut-être ? Nous sommes le 29. Toujours rien dans ma boîte.

Les options qui se présentent à moi (acheter mon numéro chaque semaine est exclu) sont :

  • me rendre sur place et négocier en chair et en chèque;
  • démarrer une pétition en ligne;
  • donner un second coup de fil;
  • entamer une grève de la faim dans le hall de l’immeuble;
  • larguer une caisse de billets de 500 euros sur le bureau de la réceptionniste, racheter la boite et exiger de recevoir un exemplaire avec un signe distrinctif comme l’exemplaire du Times envoyé à la Reine dans le temps jadis (note to self : penser à me procurer une caisse de billets de 500 euros);
  • pirater le serveur pour m’ajouter ni vu ni connu dans la base de données des abonnés. (note to self : apprendre à hacker un serveur).