Soit une femme nue (bien qu’habituellement emballée dans une serviette de bain), membre de la tribu de vos amies, qui tarde à se montrer pour votre troisieme session de 10 minutes dans un sauna plus chaud qu’à l’habitude.
Que faire ?
– Rien (elle prend son temps et une douche, elle ne va pas tarder à venir soupirer de chaleur)
– Tout (enfoncer la porte du vestiaire féminin, fendre la foule des corps plus ou moins dénudés, trouver l’amie évanouie et lui pratiquer de justesse du bouche-à-bouche, du massage cardiaque, vite docteur Benton, 10 milligrammes d’atropine en I.V., on la perd, je vous dis qu’on la perd… tuuuuuuuuuuuuuuuuuuut)
– Quelque chose (frapper à la porte dudit vestiaire, envoyer une éclaireuse membre du groupe sexuel adéquat et donc nantie de la permission de pénétrer en lesdits vestiaires).
Vous auriez-fait quoi vous ?
[note du bloggeur : ce commentaire a perdu connaissance.]
Aucune idee… j’evite les saunas ainsi que la plupart des lieux publics en fait… 😉
la dernière fois que j’ai mis les pieds dans un sauna, un homme s’est approché de moi et m’a dit:
– » tu veux que je te fasse une pipe? »
– Me levant pour quitter ce lieu hostile: « Non merci, je ne fume pas! »
Faut-il que je precise que je n’etais pas l’homme en question? 😉
A ta place, je ne me targuerais pas d’une telle aventure vaguement teintée de sexualité transpirante.
De 1 : on ne dit pas la « tribu de vos amies » mais « le cercle de mes connaissances féminines ».
De 2 : on ne dit pas de « l’atropine » mais « un surplus de désir ardent ».
Un acte de pur onanisme vaut parfois mieux qu’une attente suffocante.