dans Le pari de Baudouin

Andalouse

Theodore-Wilson vouait un culte à la sauce andalouse. Depuis sa nomination à l’ambassade de Moyenne Bretagne, cet attaché militaire était méconnaissable. À chaque frite plongée dans l’huile émulsionnée, c’était un air de flamenco qui jouait des castagnettes dans ses hormones.

C’est en vantant cette sauce à l’ambassadeur de Catalogne que Theodore-Wilson a grillé toutes ses chances de promotions au Foreign Office.

Theodore-Wilson a grièvement plongé dans une cuve d’andalouse.

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