Soit une photo.
Le cadrage et la composition ne sont pas trop pourris, les parties les plus claires à gauche sont un peu brûlées, mais on ne va pas demander à une lentille de smartphone d’être aussi lumineuse qu’un Lumix.
Je lui trouve même du rythme, voire un début de progression dramatique.
On pourrait se contenter de cette photo.
Seulement voilà :
… la même photo, mais débarassée de l’information « couleurs ». Il ne reste plus que l’ossature de l’image. Elle dégage tout de suite plus d’émotions (non ?).
Pour la petite histoire, ce touriste-Thalys s’est réveillé une minute après que j’aie pris sa photo et a rejoint ses copains rigolards, qui avaient déjà relayé la nouvelle de sa petite sieste auprès de leurs cercles sociaux.