Un envoi de Jerome :
(les règles de ce bête jeu)
Casandra, luisante de bonheur sucré, s’ébaudissait au bras de son
aviateur de John tout en contemplant le gigantesque bouquet de roses
que ce dernier lui avait amené :
– Oh John, comme vous êtes un homme merveilleux, quelle délicatesse
infime de votre part que ce présent qui n’est que douceur et élégance.
Le soleil commençait à descendre sur la mer, saluant l’amour de sa
panoplie de couleurs chatoyantes et harmonieuses.
– Ce n’est rien Cassandra, rien qui ne soit trop beau pour votre
regard, pour vos battements de cils qui ne sont que les reflets de
votre grâce toute entière, comme une éloge au vol du papillon, un
hymne à la beauté de vos yeux.
Cassandra était parcourue de légers frissons, elle tressaillait
intérieurement à chaque syllabes qui s’échappait avec mélodie de la
bouche de John.
– Oh John comme vous êtes merveilleusement attentionné, comment
traduire avec honnêteté tout ce qui représente votre talent, votre
beauté, votre intelligence ? Oh John..
–
John ne pouvait réprimer un certain sentiment de joie intense, un
très léger creux se fit au coin de sa joue droite, apportant un brin
de canaille à son sourire irréprochable :
– Je ne vous mérite pas Cassandra et pourtant votre infinie beauté me
pousse à chaque instant de l’existence vers les reflets nacrés de
votre visage, chaque moment de cette vie est une célébration à la
gloire de notre amour immortel.
Cassandra se sentait défaillir de joie intense, son corps et son
esprit se tenaient au plus près de John ; il aurait pu lui demander
la lune qu’elle n’aurait su comment la lui refuser.
– Oh John… gémissait encre Cassandra.
John prit soudainement son air important, il allait sans doute lui
demander quelque chose d’important, Cassandra se sentait prête à
recevoir sa requête, émue et pleine de désir :
– Pourtant, Milady, car tout bonheur connaît aussi son revers, je ne
saurai trop vous recommander d’aller vous laver les dents car vous
empestez encore un peu ce vieux Brillat-Savarin que vous aviez oublié
il y a un mois dans le frigo.
Ho ho, si ça ça fait 1000 caractères je veux bien me pendre!!
Maïa, il y a marqué « 1000 caracteres maximum » dans les règles. Selon le dictionnaire « maximum » signifie « la plus grande valeur à laquelle une quantité variable puisse parvenir ».
Par contre Baud, à quand la suite des aventures de Coco Passion ?