Un mois après les faits, il y a prescription. Prenons donc le tsunami à rebrousse-vagues.
Disclaimer : la perte d’un être cher n’est pas drôle. La perte d’un être cher et de sa maison, de tout son village l’est encore moins. Photocopié à des dizaines de milliers d’exemplaire, le destin des habitants de la Tsunamie orientale n’est pas drôle et je ne le souhaiterais pas au pire ennemi de mon pire ennemi.
Ceci étant déposé, j’aurais bien aimé voir le tsunami (le tsunami suffit, c’est tellement rare qu’il n’est pas nécessaire de préciser lequel). J’aurais bien aimé voir de mes yeux voir à quoi ressemble un raz-de-marée. Je suis jaloux du surfeur qui a s’est fait déposer par la vague 500 mètres à l’intérieur des terres. J’aurais bien aimé voir ce phénomène naturel encore plus rare que les éclipses totales. Mais je ne sais pas s’il est possible d’assister à ce genre de phénomène naturel depuis l’équivalent d’une loge d’avant-scène, d’en profiter un maximum et d’être encore là au chaud pour le blogger.
(Pour l’anecdote, le sens de sphincter est entré dans mon vocabulaire autour d’un feu de camp scout il y a quelques années.) >>>> baud ? peux-tu développer la notion suivante : « entrer »… *dans* mon vocabulaire…
PS : prudence camarade, la notoriété est souvent monnaie de singe. prudence est mère de [bien des choses]