Mille sabords, mais c'est du Pop-Corn !

‘touchez pas aux murs et regardez ou vous mettez les pieds, ca n’est pas encore sec !

Sauf si vous lisez ceci depuis Netvibes, Google Reader ou un autre lecteur RSS il y a des chances que vous ne vous en aperceviez pas, mais ce blog a fait peau neuve. Par exemple, pour le bleu des liens, j’ai été acheté un grand pot de OO2FA7, alias International Klein Blue. Classe, non ?

Pourquoi ? Parce que avec celui-ci, le nombre de posts disponibles atteint le chiffre mille (en realite j’ai ecrit plus de posts que ca, mais l’epoque tenebreuse d’avant WordPress n’est plus disponible que sur archive.org, et encore.

Apres le gros oeuvre, je passerai a la decoration en finesse : un peu de typographie par ici, un peu de widgets par la et on pourra pendre la cremaillère et sortir quelques bouteilles et grignoter du… – puisqu’on en parle de manger justement, ce millieme post est l’occasion de tenir quelque chose que j’avais promis ici-meme il y a quelque mois.

[ev type= »flashvideo » » width= »416″ height= »272″ data= »https://www.somebaudy.com/video/pop-corn-mexicain.flv » image= »https://www.somebaudy.com/video/post-1000.jpg » clicktext= »cliquer ici -> * < -"][/ev]Je n'y mange pas du piment mexicain, mais du pop-corn au piment mexicain.Le making-of de cette video :Le paquet recto :pop-corn mexicain

Le paquet verso :

pop-corn mexicain

Le paquet gonflado :

pop-corn mexicain

P.S. Non il n’y a pas d’accent dans ce post. Probleme d’UTF-8, charset, mysql, syntaxe Python, etc. Je passe en Defcon 12.

Mais dis moi Jamy, le Camprulte, comment ça marche ?

C’était tellement bien que j’ai encore la tête dans le cul jusqu’à la luette. Je vais essayer de faire durer en moi le plus longtemps possible les bénéfices de cette semaine sans PC, sans connexion mais avec des fous rires, avec de l’impro, avec la joie de jouer , avec le plaisir de constater que mon jeu est devenu plus physique que par le passé, plus à l’aise dans les humeurs, avec moins de censure, moins de résistance et plus de pétage de plomb.

Mais l’essentiel n’est pas là : il est dans les rencontres avec des individualités toutes plus attachantes les unes que les autres, dans les nuits trop courtes à force de bavarder, dans les running private gags, dans les jeux à la con qui font passer de grands moments. Je ne regarderai plus jamais “C’est pas sorcier” ou un bic bleu de la même façon…

Je viens de passer 7 jours sur une autre planète et je vais tenter de faire durer le plus longtemps possible en moi ce que je ramène de la planète Differt.

17 mai 2005, au Fou chantant…

17 mai 2005, je partage un verre au fou chantant. C’est un moment de ma vie où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Pourtant à ce moment là, comme le reste de la journée, je traîne une migraine d’origine non identifiée.

17 mai 2006, je passe la journée à convalescer. La veille, je me suis rendu à une soirée de publicitaires à Lille. C’était enfumé. Les publicitaires français que j’ai croisés m’ont fait l’impression d’être superficiels et prétentieux… à vomir. Ce dont je ne me suis pas privé, à plusieurs reprises au retour. Sur la bande d’arrêt d’urgence et Chaussée d’Alsemberg si ma mémoire est bonne.

2mm, très calcaire et tres espiegle pour son âge

17 mai 2007 : un jeudi de l’ascension qui s’annonce meilleur que le mardi et le mercredi qui l’ont précédé. Je commence cette journée en pissant la petite chose calcaire et espiègle qui me tiraille les entrailles depuis mardi matin. Toujours pas moyen d’avaler quoi que ce soit, même juste un peu d’eau sucrée, sans voir repasser ce que je viens d’avaler. J’ai vomi aussi souvent en deux jours qu’en dix ou quinze ans.

Là ou ça commence à devenir croustillant, c’est que le 17 mai c’est… mon anniversaire. Apparemment, c’est la date que choisit mon corps pour me faire de petites farces.

17 mai 2008 : je booke déjà une chambre à Erasme ou Saint-Luc pour la semaine, histoire d’anticiper ou bien je trouve le noeud et je le dénoue même s’il est bien serré ?