Le brunch d'Agnieszka

interesting shoes

Il y avait assez de beautés slaves pour lancer une agence de top-models, il y avait quelqu’un qui sait ce qui a maintenu Philips à flot pendant les années 80, il y avait un dessert au fromage blanc et au kiwi pas attirant pour l’oeil mais délicieux quand on décide d’écouter sa curiosité, il y avait Essays in love de Alain de Botton, il y avait de quoi nourrir une famille de quatre personne pendant un ou deux jours…

Tentations

Il y avait un putain de niveau de conversation qui volait au moins aussi haut que l’étage où ça se passait, il y avait un green roof, il y avait l’attitude ouverte et bienveillante envers le nouveau-venu que, jusqu’à plus ample informé et preuve du contraire, j’ai envie d’attribuer à tous les expats.

Smile for the little birdie

S’amuser à la KBR : mode d’emploi

La KBR (alias l’Albertine, alias la bibliothèque royale, alias le deuxième endroit où j’ai surfé de ma vie, quelque part en 95/96, après la bibliothèque de l’ULB) pourrait passer de prime abord pour un endroit réservé au travail sérieux, silencieux voire universitaire. Sans même devoir chercher, on y trouve une connectivité wi-fi omniprésente.

KBR

Comme Mystérieux Projet Editorial m’y amenait et que rester un quart d’heure sans rien foutre me tape sur les nerfs d’une part et que d’autre part les macbooks pullulaient cette après-midi là, je regarde à qui je peux dire Bonjour autour de moi.

KBR

Il y a un nom francophone dans la liste et en plus il n’a pas l’air de dissimuler foison d’homonymes (ça n’est pas “Jacques Martin” donc…). Je le google, je tombe sur une adresse mail à laquelle j’envoie un mail intitulé « ceci est une bouteille à la mer ».

La donzelle, chercheuse à l’ULB d’après mon googlage reçoit mon mail (et vient visiter ce blog, j’ai des preuves…).

KBR

Mais me répondit-elle ? Non, non, non.