Il n’y a n’a même pas deux pages pour le « y » dans le Littré. Le i-grec (*) est-il réellement une lettre ? Ecrire un i-grec c’est tracer un i, qui finit comme les colonnes doriques, c’est décrire la trajectoire d’une fusée qui part du sol, qui explose en deux morceaux qui poursuivent chacun leurs trajectoires…