(ici commence une série de micro-nouvelles d’actualité de 50 mots exactement qui a l’ambition d’être quotidienne. Stay tuned).
Roman Polanski fait crisser sa barbe du revers de la main en écoutant son voisin de cellule choisir aux dés la cravate qu’il portera à l’audience de demain. S’il s’était laisser pousser les cheveux depuis sa fuite, il aurait de quoi se tresser une corde d’évasion.