Ceci est le clavier avec lequel je rédige ce post. Ca n’est pas de la tarte de repartir à zéro à la redécouverte de mon clavier. Mais ce passage à la disposition Dvorak est la chance d’apprendre à taper sans regarder le clavier.
Je trouve illogique que mon activité soit l’écriture et que je ne maitrise pas l’instrument à 100%. A premiere vue, la disposition des touches est effectivement plus logique. Mon nouvel ami Klavaro et moi-même allons passer beaucoup de temps ensemble dans les jours qui viennent. Il y a toute la mémoire musculaire de l’azerty à oublier.