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Un barbecue dans la 4ème dimension

Ca reste un des rares barbecues où je repars chargé de plus de merguez
et de chipolata qu’à l’arrivée. Et d’anecdotes aussi.

Etaient présents (notamment):

  • Catwoman. Une plante très grimpante, qui revient d’au-delà du mur dont on ne revient pas (mais elle en revient les fesses dans le bassin à poissons rouges). Même pas eu le réflexe de lui faire faire pipi dans un petit pot. Une analyse de son sang ou une inspection de son urine d’hier soir aurait probablement donné des résultats peu légaux mais très intéressants
  • Le Parisien parait-il homo non-bloggeur du 3ème arrondissement (là où – selon lui – les riches habitent) en safari chez les Belges.

    Signe particulier : propulse le contenu de son verre de vodka en direction de l’indigène du Belgistan Occidental qui a l’outrecuidance de répondre à son arrogance innée. Ou alors c’est sa liquette Ralph Lauren qui lui est montée à la tête. La prochaine fois, on lui offrira un t-shirt « bonjour les ploucs » pour que les pendules soient directement à l’heure.

  • La Parisienne parait-il lesbienne qui a honte de son prénom (bonjour Delphine !). Delphine adore mon prénom au point de l’enregistrer avec son appareil photo. On ne met guère de temps à comprendre qu’une fois franchies les limites du périphérique, voire – gasp!- une frontière, Delphine dénigre à balles réelles tout ce qu’elle voit et tout ce qu’elle entend. Chez Delphine ça doit être ontologique. Dommage qu’elle n’aie pas de blog, j’aurais adoré lire sa version des faits.

    Signe particulier : Delphine visite la Belgique comme si c’était un zoo de province un peu bizarre, qui ne séparent pas très strictement animaux et visiteurs. La prochaine fois Delphine, n’oublie pas les cacahuétes, s’il te plait.

  • Quant aux moeurs dissolues du banc de bloggeurs plongé en milieu ixellois et à ce qu’ils appellent « un échange de liens » et « prendre langue », je pourrais vous dire la vérité mais j’ai tant de peine à croire à ce que j’ai vu que je vais garder ma version de la vérité pour moi…

J’ai fini par quitter. A ce moment là, au salon, on ne dansait plus sur la bande-son d’un Kusturica.
Au moment précis où j’ai pris congé, quelques mâles comparaient les tailles de leurs verges, de leurs pénis, de leurs phallus (phalli ?). En bref : de leurs bites.

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  1. je n’en étais pas, normal je te connais pas vraiment! Mais je souhaiterais ardemment être de la prochaine. C’est le genre de soirée où je trouverais facilement ma place 🙂
    Cela dit, pour t’avoir rencontré une fois chez Poulpy, tu m’as l’air de t’exprimer plus facilement sur ton blogue que face aux gens. je me demande ce que tu as du dire de nous à l’époque :-))

    EDIT: j’aimerais avoir une adresse mail à laquelle te joindre. a@r.be j’ai comme un doute 😉