Un grand shout-out à Willy Ronis, un photographe (cuvée 1910) de l’école des Doisneau et Cartier-Bresson qui présente par rapport à eux la caractéristique d’être toujours vivant.
Si seulement ce virtuose de l’obturateur avait été à côté de moi hier soir pour m’aider à capturer sur carte-mémoire le spectacle des flocons de neige, éclairés par les réverbères bruxellois…
il est beau ! pétillance de l’oeil regard plein d’humanité… un habitué des shoots qui conservent.
Exposition extérieure des photos de Willy Ronis ces jours ci en face de la Gare de Lyon à Paris.